Ecoute et sensibilité
« La passion à fleur de peau »
Je m’appelle Valérie : j’ai, comme on dit pudiquement, « un peu d’expérience » et surtout « la sagesse » des années écoulées. Ces années n’ont jamais altéré ma passion pour les animaux. Je dirais même qu’elles l’ont accentuée, sublimée.
Pierre Desproges disait : « Plus je connais les hommes, plus j’aime mon chien ». Je reprendrais cette citation à mon compte mais en l’adaptant : « Plus je connais les hommes et les animaux, plus j’ai envie de contribuer à leur bonheur commun ».
"J’ai toujours eu des animaux ou des rêves d’animaux"
Mon premier chien à l’âge de 10 ans (Kafi, comme le chien des « six compagnons » – héros à 4 pattes que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître…) et mon premier cheval à 30 ans après en avoir rêvé durant plus de 20 ans. Et pourtant, ce n’est que depuis quelques années que j’ai découvert l’immense bonheur de partager ma vie avec un chien heureux et serein : mon fidèle Jedi.
J’ai, avec lui, découvert, intuitivement et avec passion une nouvelle dimension de ma relation à l’animal : Au-delà de l’amour, j’ai expérimenté la compréhension et le respect. Le respect de sa nature de chien, de ses besoins, de ses instincts et de son bien-être.
C'est ainsi, avec lui et grâce à lui que je suis tombée dans l'éthologie (science du comportement de l'animal et de l'homme) pour ne plus en sortir depuis.
C'est lorsque cela m'a paru trop "simple" avec mon super Jedi que je me suis lancée dans un nouveau challenge : l'accueil de Darwin le vagabond. Deux ans et demi, un passé inconnu, un grand cœur, une extrême gentillesse mais une indépendance "à tous poils" et très peu d'éducation. Aussi passionnant que fatigant mais quelles satisfactions !
Du chien au cheval, il n'y avait qu'un sabot que j'ai franchi allègrement grâce à Enya ma jolie trotteuse. Il n'y avait pas meilleure élève pour me conduire à la recherche de la compréhension du comportement équin. Merci ma belle de m'avoir conduite sur ce chemin passionnant ! La route est encore longue à tes côtés mais nous avons la vie devant nous.
J’ai appris à « penser chien et cheval ». Et c’est cela que je veux partager avec vous.
Pour votre bonheur et celui de vos petits ou grands poilus.
